Attractivité marché

Attractivité marché et positionnement concurentiel

Les outils de positionnement sur le marché

Plan de redéploiement de la fonderie d’ARVIKA (Suède)

Pour expliciter le outils  de positionnement du plan de développement stratégiques, rien de mieux qu’un exemple. Cette entreprise appartenait à un ensemble de 3 unités du groupe Volvo  qui ont été cédées au groupe Novaterra. Notre mission était de redéployer  ces trois unités, une fonderie, forge et une unité d’usinage, positionné sur le marché de l’industrie une automotive.  Vous trouverez le plan complet que nous avons élaboré en cliquant sur Plan de redéploiement stratégique de la fonderie Gjuteri

Ayant pris les postes clés direction générale et direction industrielle en Turn Around Management et évaluer la faisabilité de notre mission, nous avons créé un premier  groupe de travail intégrant le management , des élus du syndicat de métaux suédois,  des acteurs  de tous les  services  et de différents  niveaux hiérarchiques. L’élaboration de ce groupe de travail a été la première étape de notre plan de redéploiement.

La mission de ce groupe était de définir le positionnement actuel et le positionnement objectif pour chacun des champs d’activité de l’entreprise. Pour cela avec le groupe de travail, nous avons décomposé et structuré l’activité de l’entreprise en champs d’activité business suivant notre méthode , avec pour résultat 3 champs d’activité, à savoir:

  • un champs d’activité Camions et Bus,
  • un champs d’activité Engins de TP et Tracteurs,
  • un champs d’activité Disque de frein.

Pour  expliciter notre démarche et les outils associés,  nous présentons le travail effectué sur le champs d’activité business « Camions et  Busses »

La première étape est d’analyser  le marché et son attractivité. Pour cela le groupe de travail a renseigné chacun des critères de la matrice suivante en coopération avec les clients, les fournisseurs, les organisations patronales et syndicales . Cette veille marché  a permis de résumer l’attractivité en 14 critères comme le montre le tableau ci-dessous.

SI les trois premiers critères du tableau sont plus du ressort du commercial, du markétings et de la veille marché,  dès le quatrième, au vue des  questions posées, il est important d’intégrer tous les départements de l’entreprise  dans le groupe de réflexion qui va mener ce travail.

Le critère 6 « visibilité de la marque »

Quand nous parlons de visibilité de la marque, c’est au sens large, cela peut s’entendre  aussi comme  la visibilité d’un processus d’excellence  pour une entreprise d’engineering ou dans l’excellence de la satisfaction client pour un groupe de sous-traitance ou les  entreprises qui  sont positionnées sur des marchés industriels très spécifiques.

Le critère 7 ‘’ la barrière d’entrée ‘’

Plus le domaine d’activité de l’entreprise demande une capitalisation ou un savoir-faire fort, comme la sidérurgie ou l’industrie pétrolière, plus le risque de nouveaux arrivants est faible et inversement. 

Le critère 14 ‘’Dépendance par rapport aux facteurs environnementaux et aux normes’’

Le monde traverse un bouleversement complet. Le changement de leadership, l’arrivée de nouveaux concurrents internationaux, l’émergence de  vagues  de fond sociétales, la problématique écologique, la puissance des outils informatiques demandent  à l’entreprise non seulement de renforcer sa veille , mais aussi ces capacités d’anticiper.

A titre d’exemple : Le passage rapide  du véhicule thermique  aux véhicules électrique à la suite des normes européennes liées de la demande environnementale, entraine  la chute de nombreuses entreprises qui n’ont pas anticipé les conséquences produits/marché .

La liste  ci-dessous résume  dans le domaine de l’industrie automobile les secteurs d’activité à risque, les perdants et les gagnants.

Les perdants sont essentiellement les entreprises positionnées sur les familles de produits suivantes :

Les gagnants sont hors les moteurs électriques :

Avec des conséquences destructrices sur les activités de  fonderies d’aluminium, de fonte et d’acier,  les forges et l’emboutissage.

Le critère 12  ‘’Risque de substitution’’.

Il est important de faire travailler en coordination la veille  technologique et la veille marché pour éviter les catastrophes.

A titre d’exemple, nous restructurions une entreprise en République Tchèque juste à côté d’une importante usine neuve de la firme Philips qui commençait la montée en cadence de la production d’écrans à tube de télévision. L’arrivée des écrans plats à non seulement fait décrocher le groupe sur le marché des téléviseurs, mais aussi induit la fermeture d’une usine neuve  à peine opérationnelle avec toutes les conséquences financières, humaines et diplomatiques.

Pour le champ d’activité ciblé, le   premier tableau  ci-après donne les caractéristiques de  l’attractivité du marché qui a été retenu par le groupe de travail. On trouve dans chaque cellule un résumé du travail effectué  sur le critère correspondant.

CriteriaDescription/Assessment
(1)  Market volume¨      EUR: 150´-200´ t/a + 30000t/a trailors North America: 200´ t/a
(2)      Development of the market: Expected change of the market volume in per cent+4-5%/a.  Gear housings:
+6% Hubs
(3)  Profits, marginal productivity¨      Lowest price market¨    
 – Low profit
(4)  Competition structure¨      Wide, tough and crushing¨     
– Low-price-competitors
(5)  Competitors‘ behaviour¨      Price’s agressiveness¨ 
– Capacities increasing
– Long term business connection
(6)  Brand perceptionRight specialist 
(7)  Entering barrierMedium due to the tecnologies used
(8)      Purchasers‘ situation (with regard to their economic, structural or financial situation for example)    –   Strong, undependence on the technical departments
-¨      Hard competition with price pressure
(9)      Strength of negotiation and purchaser‘s behaviour¨      Sweden: Strong, but ´family´ (weakening)
    – Rest of the world: despotic
¨      Rest of the world: despotic
(10)      Price leeway– Low space of manœuvre depending on the business volume
(11)   Differentiation possibilities on the market–   Price
– Provide solutions
– Machining ability
– Language in Sweden (family)
(12)   Risk of substitution -Very high with gear housings (Aluminium)
For Hubs
     Steel forging coming up
– ADI (more chance than risk)
– CGI
(13)   Cost efficiency and liability to break downs because of energy- or material- supply and human resource     – Central Europe: lowering energy costs
– Structural lack of suitable scrap
– Very expensive personal costs, relative to the productivity
(14)   Dependence on environmental factors (like economic activity, legislative, ecology)¨      Reducing the weight

Dans cette mission ont été contactés directement ou indirectement les clients et prospects suivants.

Le travail réalisé par le groupe en termes de recueil complet d’information et une réunion de confrontation des différentes visions, a permis d’établir la quantification de l’attractivité du marché. Elle résulte de l’agrégation de l’importance donnée à chaque critère et de son évaluation par rapport au vécu du marché.

La valeur moyenne évaluée de l’attractivité du marché (position dans le  portfolio est:

Une fois l’attractivité du marché quantifiée, l’ étape suivante consiste à valider la place de l’entreprise dans la compétition. Pour cela nous avons analysé qui sont les compétiteurs actuel ou potentiels. Dans l’exemple décrit les compétiteurs et leur positionnement étaient les suivants :

  • Fournisseurs  et prospects de nos Clients en noir.
  • Compétiteurs potentiels sur les 3 prochaines années en rouge.

Une fois les compétiteurs visualisés, la phase suivante de notre méthodologie demande de réaliser leur évaluation et celle de l’entreprise dans la compétition. Pour cela, avec le groupe de travail nous avons élaboré la matrice en 17 critères suivante. Les critères peuvent changer en fonction du domaine d’activité de l’entreprise.

Critères
(1)    Développement de la part de marché sur les cinq dernières années
(2)    Développement de la  rentabilité
(3)    Profile des produits et des services
(4)    Prix et politique de prix
(5)    Efficacité économique des principaux processus par rapport aux coûts
(6)    Présence en Europe
(7)    Marketing et organisation des ventes
(8)    Service
(9)    Communication sur le BF/PR personnellement / documents
(10)  Image sur le BF
(11)  Développement produit: Time to market
(12)  Savoir-faire technologique
(13)  Capital et réserves
(14)  Infrastructure  technique
(15)  Qualification et quantification du management et de l’encadrement
(16)  Potentiel d’optimisation
(17)  Respect des demandes des clients en termes de qualité et de livraison
Critères évaluant la compétition

Dans un premier temps  pour qualifier la compétition,  seuls les critères  ++ nettement meilleur,  + meilleur, = semblable, – plus mauvais  et — nettement plus mauvais par rapport à l’entreprise seront exposés pour chacun des critères et pour chaque compétiteur .

Le dernier critère  inconnu ? doit nous obliger à aller plus loin dans l’analyse du compétiteur. Ceci donne le tableau suivant intégrant le leader et les principaux challengeurs  du marché (positionnement dans les cercles 1 et 2).

CritèresABCDE
(1)        Développement de la part de marché sur les cinq dernières années ++ = + —
(2)        Développement de la rentabilité + ++  
(3)        Profile des produits et des services  = =  
(4)        Prix et politique de prix + +  
(5)        Efficacité des principaux processus  en regard des coûts et autres? =?  
(6)        Présence en Europe = +   
(7)        Marketing et organisation des ventes + +   
(8)        Services + +   
(9)        Communication sur le BF et le PR: personnellement/documents + +   
(10)     Image sur le BF +   
(11)     Développement Produit: Time-to-market   
(12)     Savoir-faire technologique   
(13)     Infrastructure technique ++   
(14)     Capital et réserves ++ =   
(15)     Qualification  et quantification du management et de l’encadrement =   
(16)     Potentiel d’optimisation? =   
(17)     Respect des demandes clients en termes de qualité et de livraison) = =   

Le recueil d’information pour décrire la compétition montre l’importance de la veille marché  et l’intégration indirecte dans le groupe de travail d’acteurs externes  (syndicats de branche, fournisseur stratégique, partenaires client, prescripteurs, spécialistes du marché, etc.).

Au moment de notre intervention le leader était Georg Fischer, et les principaux chalengers étaient Guss Komonentem,, De Globe, Harzer Granguss et Sadefa.

Puis on quantifiera le positionnement du meilleur compétiteur et de l’entreprise en ciblant l’importance relative de chaque critère de la matrice et la valeur évaluée dans ce critère du meilleur compétiteur et de l’entreprise.

Dans ce tableau le leaderGeorg Fischer est indiqué par la lettre A et les chalengers Guss Komonentem,, De Globe, Harzer Granguss et Sadefa respectivement par les lettres B, C, D, E quant à l’entreprise, elle est indiqué par un cercle rouge.

Ce tableau permet à la fois visualiser les forces des compétiteurs et les faiblesses de l’entreprise sur lesquelles il va falloir travailler en priorité en fonction de l’importance du critère. Il donne le positionnement concurrentiel de l’entreprise et par le benchmark l’entreprise idéale qui serait le but à atteindre.

Le positionnement dans la compétition de l’entreprise dans le portefolio est donnée est donné par :

Le positionnement dans la compétition du benchmark dans le portefolio est donnée est donné par :

Cette matrice peut être élaboré pour chaque compétiteur afin de visualiser les axes d’attaques pour le service commercial.

Du positionnement actuel de l’entreprise (où nous sommes) dans la matrice BCG et du positionnement du Benchmark (ou nous devons aller), il découle  les objectifs  stratégiques du  plan de développement stratégique de l’entreprise.

Pour le cas cité, le positionnement dans la matrice BCG était le suivant et a donné le plan de développement stratégique permettant de passer de Pauvre Chien à Vache à Lait, qui est joint à ce document et que vous pouvez consulter en tapant sur Exemples stratégiques puis Gujteri.

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L’entreprise est avant tout:

Qu’est ce une entreprise?

Une entreprise  selon l’INSEE, est une « unité économique, juridiquement autonome dont la fonction principale est de produire des biens ou des services pour le marché.

Mais notre expérience a montré que cette définition est essentiellement juridique et  ne répond plus  à la réalité et aux enjeux actuels en particulier à la problématique  humaine.

Produire des biens ou des services ne suffit plus.

30 ans de management de transitions d’entreprises dites saines ou en difficulté sur les cinq continents ont forgé notre conviction qu’une  entreprise est avant tout :

  • La réunion d’un ensemble de compétences complémentaires en vue d’obtenir des objectifs  partagés par tous ses acteurs. Ce regroupement de compétences doit intégrer  tous les différents aspects de l’entreprise  à savoir :
    • En interne,  l’ensemble des services de l’entreprise, son personnel incluant ses instances représentatives.
    • En  externe, les partenaires (fournisseurs stratégiques, clients et prescripteurs, organismes financiers, institutionnels, …).
  • Une entité   juridique vivante et une dimension économique  en termes de  création de profits afin de contribuer par son rayonnement  au développement du bien être  l’ensemble d’une  communauté.
  • Un projet incluant une mission et une vision

Faute de la convergence équilibrée de ces  3 critères,  l’entreprise ne peut pas  être viable. La rendre viable et pérenne  demande qu’elle soit profitable. Elle  le sera d’autant plus sur le long terme   que   tous ces acteurs pourront bénéficier de son  développement.

Son objectif n’est pas de  régler les problème sociétaux  qui sont d’une autre nature et le fait des politiques. Bien que  dans ce cadre, elle a un impact par la mise en place de la  responsabilité sociétale des entreprises (RSE)  telle que définit par la communauté européenne (norme ISO 26000).

Le but de l’entreprise est de favoriser le progrès de la communauté en lui apportant sa contribution utile tout en permettant à tous les acteurs de trouver une raison d’être et de gagner leur vie de façon satisfaisante.

Elle ne doit pas être  faite pour servir un individu , mais pour servir un collectif dans lequel chacun des individus doit se retrouver.

Le but de l’entreprise est de favoriser le progrès de la communauté, de lui apporter sa contribution utile tout en permettant à ses acteurs  de gagner leur vie.

Pourquoi une entreprise est en difficulté?

La défaillance d’une entreprise résulte souvent de l’aboutissement d’un ou plusieurs facteurs et d’une tardive appréhension des difficultés. Généralement, le processus de détérioration a commencé plusieurs années avant que l’on s’en aperçoive ou bien avant la cessation de paiement.

Une entreprise est  en difficultépour différentes raisons. A l’exception de  quelques cas liés à des actes criminels contre l’entreprise ou de causes exogènes comme une guerre ou une pandémie inattendue, la  raison principale est la conséquence de la carence humaine dans sa gestion. Qu’elle soit due à :

Dans les entreprises en crise qui nous étaient confiées en tant que manager de transition nous avons souvent rencontré ces problématiques. Face à ces situations, notre démarche parallèle intégrant management participatif et approche  corporate religion religion dans nos missions de restructuration et de redéploiement a été porteuse de succès. Elle a permis sur les cinq continents et sous 12 à 18 mois  à  ces entreprises, le retour à la profitabilité, de retrouver la confiance de tous les acteurs internes et externes de l’entreprise et d’assurer leur pérennité.

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Difficultés des entreprises

Pourquoi une entreprise est en difficulté .

Une entreprise peut être en difficulté pour différentes raisons. Hors quelques cas liés à des actes criminels contre l’entreprise ou des causes exogènes comme une guerre ou une pandémie inattendue, la raison principale est la conséquence de la carence humaine dans sa gestion.

Dans la plupart des cas, il est démontré qu’il était nécessaire de remplacer les dirigeants non pas parce qu’ils étaient supposés être inefficaces, mais surtout parce qu’ils se sont révélés inadaptés face à la problématique de leur entreprise .

La défaillance d’une entreprise résulte souvent de l’aboutissement d’un ou plusieurs facteurs et d’une tardive appréhension des difficultés. Généralement, le processus de détérioration a commencé plusieurs années avant que l’on s’en aperçoive ou bien avant la cessation de paiement.

Mais comme nous allons l’analyser ce processus de dégradation reste de la responsabilité des dirigeants que ce soit par manque d’anticipation, manque de remise en question ou par le mode de management.

Cette défaillance des dirigeants peut se classer en trois grandes causes, à savoir :

  • L’incapacité de comprendre le marché.
  • La fragilisation de la santé financière de l’entreprise.
  • La désorganisation de l’entreprise.

L’incapacité de comprendre le marché
Elle intègre :

  • Des contradictions fortes entre la mission de l’entreprise, sa vision, ses valeurs et la stratégie adoptée.
  • Un manque de plan de développement stratégique basé sur le marché et son évolution.
  • Une méconnaissance du cœur de métier.
  • Une sous-estimation des risques due à une mauvaise conjoncture économique et sociale.
  • Une surestimation de la bonne conjoncture économique.
  • Une non-compréhension d’un ralentissement ou d’une turbulence économique.
  • Un manque d’anticipation : l’incapacité à anticiper ou à réagir à la concurrence, à la technologie ou à l’évolution du marché.
  • Des conséquences de l’arrivée de nouveaux produits se substituant aux siens ou
  • nouveaux concurrents plus compétitifs.
  • Une non prise en compte de la transformation des exigences des clients ou d’un groupe de clients.
  • Un manque d’analyse des risques entrainant la défaillance en cascade de clients.
  • Une incompréhension des évolutions sociétales et leurs conséquences normatives.
  • Des choix stratégiques inadéquats.
  • Autre.

La fragilisation de  la  santé financière de l’entreprise.

Souvent, elle se résume à:

  • Une mauvaise supervision du crédit interentreprises : factures impayées.
  • Une mauvaise gestion de la trésorerie.
  • Une méconnaissance des prix de revient.
  • Une mauvaise estimation des délais de règlement des factures.
  • Un manque d’anticipation des défaillances clients .
  • Une  sous-estimation des investissements à réaliser et souvent  mal financés.
  • Pas de plan de financement d’urgence en cas de crise financière.
  • Peu  ou mauvaise communication avec l’environnement financier.
  • Une Insuffisance de la connaissance du droit social, fiscal et international.
  • Etc.

La désorganisation  de l’entreprise

Elle découle de :

  • Pas de vision stratégique.
  • Pas de modèle cible prédéfini.
  • L’absence de reconnaissance du  travail des salariés.
  • Une désorganisation ou mésentente entre les associés ou dans l’équipe dirigeante.
  • Une gestion trop centralisée marqué par une insuffisances d’écoute et de délégation.
  • Ou à l’inverse une trop grande délégation sans  supervision et  contrôle interne .
  • Une absence de visibilité sur l’avenir de la société.
  • Mauvaise adaptation du modèle économique.
  • Pas d’adéquation entre la stratégie et les processus de l’entreprise
  • L’incapacité de communiquer  sur le cœur de métier, sur les valeurs de l’entreprise,
  • L’incapacité de communiquer  directement avec le personnel.
  • L’incapacité de  donner et de garder un cap clair et de décider.
  • L’incapacité de s’entourer d’hommes efficaces mis à la  bonne place.
  • L’inaction par rapport aux problématiques qui s’accumulent.
  • Pas de QUI fait Quoi, Comment (processus et procédures actualisés, missions et fonctions bien définies, etc.).
  • Etc.

On constate que ces dirigeants ne voulant pas admettre qu’ils avaient échoués , ni se remettre  en question conduise l’entreprise  à l’échec , alors que bien souvent les responsables  de deuxième  ligne avaient observé  la dégradation, mais n’osaient pas s’opposer à leur hiérarchie. Une des citations célèbres d’Albert Einstein est:

Les problèmes importants auxquels nous sommes confrontés ne peuvent pas être résolus par le même niveau de pensée qui les a créés.

Penser différemment dès le départ conduit souvent aux résultats les plus originaux.

A contrario, ces mêmes responsables de deuxième ligne , étaient  par contre prêts à :

  • Participer et appliquer la nouvelle définition de la stratégie éditée par le nouveau management.
  • S’identifier  à la mission de l’entreprise et à ses valeurs élaborées en commun.
  • Partager sa vision  et à entrer dans la dynamique du plan stratégique de développement.