Philosophie

La philosophie

Lors de sa première création, la mission  de CRESI était principalement orientée vers la sauvegarde des entreprises en difficulté et agissait pour le compte des actionnaires ou sous la supervision des administrateurs judiciaires. Ceci passait par :

Harmoniser l’entreprise et développer une culture motivante
  • un redéploiement des dites entreprises
  • des restructurations sectorielles.
  • la réorganisation complète ou partielle de l’entreprise.
  • la mise en place de diversification
  • le transfert de technologie et l’implantation de nouvelles technologies et fonctionnalités

La  venue de jeunes ingénieurs et de spécialistes des ressources humaines et la nécessité de manager des équipes multiculturelles ont élargi les interventions de CRESI par l’élaboration et la mise en œuvre de plans spécifiques de formation et  d’intégration de systèmes d’information ainsi que d’automatisation d’unités de production.

Intégrer les technologies dans le respect de l’humain

A partir des années  2003,  le  CRESI  en se fondant sur les expertises acquises, a modifié sa philosophie en adoptant une culture de rapprochement du capital et du travail permettant l’émergence et la mise en place  de scénarii alternatifs, une plus grande cohésion et une redynamisation de l’entreprise autour de valeurs fortes.

La philosophie de développement du CRESI s’est transformée, petit à petit, vers la mise en place d’une forme de démocratie participative qui privilégie, la mission, la vision et les valeurs de l’entreprise dans la nécessité de s’adapter au marché et d’anticiper son évolution.

Cette approche  intégrant « Corporate Religion » et  restructuration participative est  le résultat direct du succès de nos missions  sur le terrain. Elle est partie de la question « Qu’est ce une entreprise »

Pour nous une entreprise est faite pour faire du profit, mais aussi:

Cela  nécessite des hommes, un projet et des moyens financiers faute de l’un de ces éléments  équilibrés,  l’entreprise n’est pas viable. La rendre viable et pérenne  demande qu’elle soit profitable. Elle  le sera d’autant plus sur le long terme   que   tous ces acteurs pourront bénéficier de son  développement.

Son objectif n’est pas de  régler les problème sociétaux  qui sont d’une autre nature et le fait des politiques.

Elle ne doit pas être  faite pour servir un individu , mais pour servir un collectif dans lequel chacun des individus doit se retrouver.

Le but de l’entreprise est de favoriser le progrès de la communauté, de lui apporter sa contribution utile tout en permettant aux acteurs  de gagner leur vie.

C’est pourquoi le CRESI a développer avec succès ces trente dernières années un ensemble de méthodologies et d’approches que l’on résument aujourd’hui par les termes de « Corporate Religion » et de redéploiement ou restructuration participatif.

Aujourd’hui la demande de restructuration participative en pleine évolution place le CRESI, ses outils, ses méthodes et ses références au cœur de l’évolution du métier et du développement des sociétés.

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